Evaluation :

Il semble vain de vouloir parler de l'Indonésie en général, tant les différences sont importantes entre les îles. C'est d'ailleurs ce qui invite à y retourner afin de découvrir la diversité des richesses de cet archipel.

  1. En Indonésie plus qu'ailleurs je réalise à quelle point tout est éphémère et précaire: du jour au lendemain tout peut basculer, changer de forme, d'ambiance, de vie : à quelques années d'intervalle, un tremblement de terre, une éruption, un tsunami, la mondialisation modifie pour des années des choses que nous avions connues.

  2. Puce En Indonésie j'ai aimé :

  3. Yogyakarta et le Taman Sari. Il règne dans ce site et dans une partie de la ville une ambiance particulière.

C'est une ville d'art, pleine d'artistes. On rencontre un peu partout des jeunes équipés d'appareils photos avec leurs amies qui posent dans des endroits choisis pour leur ambiance, pour leur lumière... Il y a aussi une recherche musicale particulière dans cette ville, il y a plein d'ateliers d'arts, d'écoles d'arts et de danses. Mêmes les graffitis sur les mûrs sont souvent agréables à regarder.

  1. les Volcans et la région de Java Est avec une nature rustique qui les entoure. Le lever de soleil sur le Bromo est toujours aussi magique. Les Tenggers sont des personnes agréables à découvrir. Les randonnées du Kawa Ijen resteront inoubliables, de même que les rencontres avec les forçats du souffre. Nous avons aimé les plages désertes et sauvages, les villages isolés, les marchés de nuit, le site envoutant de Borobudur.

  2. Bali, en dehors des plages tapageuses du sud. C'est un pays magnifique au niveau des paysages, de l'art de vivre et de la culture. Les Balinais sont en général des personnes accueillantes, chaleureuses et douces. Même si tout ce qui tourne autour du tourisme commence à prendre des allures de provocation, d'arrogance (chauffeurs de taxi, vendeurs, beach boys etc...)

C'est pourquoi il est important d'être attentif au choix du T.O. Certains nous baladent comme de simples touristes de sites en sites (ce que cherchent bon nombre de clients), d'autres font vivre une véritable initiation (ce que cherchent nombre d'autres voyageurs).

Je suis sensible à la spiritualité des Balinais, même si parfois leur dévotion va jusqu'à une certaine soumission à des traditions d'une autre époque ou à des principes paradoxaux. Cela donne un cachet à leur quotidien que l'on ne retrouve nulle part ailleurs.

Si je devais faire un séjour balnéaire à Bali, ce serait soit à Pekutatan à l'hôtel Puri Dajuma, soit à Tanjung Benoa à l'hôtel Matahari Terbit pour leur ambiance feutrée, chaleureuse et paisible, la qualité de leurs prestations, sans pour autant tomber dans les extrêmes du luxe ou des stations balnéaires surpeuplées. A Sanur, l'hôtel Flasbacks est une bonne option sous réserve d'avoir accès à la chambre Bungalow n°1. Le quartier est moins fréquenté que Legian, Seminyak, ou Kuta.

  1. Florès, son "petit peuple" accueillant, ses paysages envoûtants, ses marchés débordant de vie.

Florès est à découvrir avec un guide passionné par l'île, par ses habitants, et ses villages. Il n'est pas nécessaire de faire des treks éreintants pour découvrir les villages de Florès, la plupart peuvent être atteints en voitures ou en motos.

L'immersion dans quelques villages authentiques autres que ceux retenus pour leur cachet touristique devrait permettre d'aller au delà des apparences. Les ethnies de Florès méritent mieux que la curiosité, elles ont davantage à partager que des sites photogéniques.

Les Lio de la région de Ende, les Ngada de la région de Bajawa, les Manggarai de la région de Ruteng peuvent se découvrir de façon simple sans avoir besoin d'aller dans des villages "répertoriés ou classés". Le village de Belaragi est peu proposé par les T.O. comme le volcan Wawo Muda et ses lacs orangés. La petite route de Ruteng à Denge traverse des villages qui méritent que l'on s'y attarde.

  1. Lombok en dehors de l'agitation de Kuta. Sa population est authentique malgré le tourisme qui s'y développe. L'accueil est un peu moins "cool" qu'à Florès, mais il y a encore plein de choses à découvrir, en dehors des circuits touristiques classiques. Les villages, les marchés sont passionnants à parcourir. Le marché de Tajung Luar, la région de Tetebatu, et celle de Lingsar nous ont laissé d'agréables souvenirs. Il n'y a pas que le volcan, les plages ou les cascades à voir. De nombreux villages sont de véritables sources d'enrichissements.

  2. Sumbawa. J'ai beaucoup de mal à comprendre que de nombreux sites, blogs et autres guides papiers écrivent que la population n'est pas spécialement accueillante et qu'il n'y a rien à voir. Sumbawa regorge de villages authentiques, avec des villageois gais, accueillants, chaleureux. Tout est à découvrir sur cette île, qui si elle n'a pas de temples, ni de ruines spectaculaires à offrir, a une population qui ne demande qu'à partager sa richesse humaine, ses traditions, son artisanat. Les paysages sont magnifiques.

  3. Il reste des choses à faire et à voir en Indonésie : si beaucoup de touristes vont en Indonésie pour les plages, les rizières, les temples, et que beaucoup d'autres y vont pour les spots de surf ou de plongée, ou encore pour les varans de Komodo, nous aurions aimé consacrer plus de temps à la découverte d'un village Balinais et à ses activités, plus de temps à Florès à la découverte des ethnies Lio, Ngada, Manggarai et à leur mode de vie.

A Sumbawa, nous aurions aimé visiter davantage de villages à l'intérieur des terres, découvrir le folklore, les traditions, l'artisanat. (les villages de pêcheurs se ressemblent un peu tous ).

A Lombok nous aurions aimé découvrir davantage le peuple Sasak et ses traditions, ainsi que le wetu telu. Nous aurions aimé passer davantage de temps au contact des artisans, en prenant le temps d'observer leur savoir faire et peut être mettre la main à la pâte. Il manque un tourisme ethnique et intégré dans cette région du monde où le "petit peuple" semble avoir beaucoup à partager.

Bali Authentique a décidé à mettre en place ce genre de tourisme dès 2015, ce qui suppose d'avoir les bonnes informations et les bons contacts.


  1. Puce En Indonésie je n'ai pas aimé

  2. Sulawesi: même si nous sommes tombés en admiration devant l'architecture des maisons Burgis, nous ne gardons pas un souvenir inoubliable des Célèbes. Les paysages et les gens sont beaucoup moins "raffinés" qu'à Bali, même les rizières en espaliers sont moins attrayantes.

Le pays Toraja malgré ses traditions, la beauté de ses villages, la magie de ses cérémonies n'a pas su nous faire oublier la "barbarie" de certains paysans. Nous avons été réellement choqués par le comportement des humains à l'égards des animaux.

Le guide, avec sa désinvolture et son arrogance, a aussi probablement été pour beaucoup dans cette déception.

  1. je suis stupéfait et révolté de voir à quel point les Indonésiens négligent leur environnement: que ce soit dans les villages, encore plus dans les villages de pêcheurs, dans les rivières, autour des cascades, sur le bord des routes, dans les arènes de combats de coq, des détritus souvent à base de plastique (bouteilles, sachets, blister...) de canettes d'aluminium, d'épluchures, de bois, de cartons, s'amoncellent partout au point de donner l'impression que certains villages sont posés sur des dépotoirs.

  2. je suis choqué de découvrir qu'il arrive de plus en plus fréquemment à Bali, mais c'est arrivé aussi à Sumbawa que des enfants de 12 ans et des adolescents fassent des doigts d'honneur au moment où nous passons en voiture, où au moment où ils passent en voiture ou en moto. La seule fois où j'ai  rencontré cela dans mes voyages c'était aux USA dans les ghettos noirs.

  3. Je suis en colère contre la "coutume" Balinaise qui est de ne jamais avoir l'appoint lorsqu'on règle une facture d'hôtel ou de restaurant.

Explication: les restaurants importants et les hôtels touristiques affichent des prix hors taxe. En fonction de la ville, les taxes + services sont de 17 à 21 %. Ce qui donne des prix à rallonge : 25.480 ou 37.372 ou 48.520 etc...dans ce cas s'est toujours arrondi au chiffre supérieur 26.000, 38.000, 49.000, parce qu'il n'y a soit disant pas de monnaie ! Au bout d'une journée, d'une semaine, d'un mois, vu le nombre de touristes, cela finit par faire du chiffre. Dans les petits warung, les prix sont net: un nasi goreng à 17.000, c'est 17.000, et ils ont toujours la monnaie. Business is business.

  1. je n'aime pas la "coutume" Indonésienne qui est de distribuer des pourboires partout, tout le temps. Les locaux donnent sans se poser de question! Dès que l'on demande un renseignement, une information, ou que l'on stationne quelque part, même en pleine campagne, les gens attendent un pourboire. Tout est prétexte à donation, même quand ce n'est pas justifié. On a l'impression d'être des distributeurs de billets. Je donne sans problème lorsqu'il s'agit d'un partage de compétences, de connaissances, de temps, lorsqu'il y a eu un échange. Par contre je ne donne pas lorsque c'est présenté comme un dû, même justifié par une coutume.

  2. J'ai horreur de la radicalisation: Les tentatives de déstabilisation du maire de Jakarta Basuki Tjahaja Purnama qui affirmait que le Coran n'a pas à être une arme politique dans les élections, les pressions que subissent les Tenggers obligés de se cacher pour se réunir et pratiquer leurs rites, les récents attentats contre des églises catholiques laissent supposer que l'Indonésie se radicalise doucement, mais sûrement. Elle risque fort de ne plus être une destination cool dans un avenir proche.


  1. Puce Après l'Inde, le Sri Lanka, le Vietnam, je suis surpris par les nouveaux touristes qui envahissent l'Asie et l'Indonésie:

ils sont plus jeunes et quelque soit leur nationalité, tous clônés : 20/30 ans, lui en bermuda, en tee shirt et en tongs, un panama de paille vissé sur la tête, une fois sur quatre un tatouage polynésien sur le bras ou le mollet, parfois un bijou à l'oreille, elle en mini-short moulant ou en leggins type "camel toe", débardeur échancré ou brassière courte, sandales de cuir, un tatouage léger sur la cheville ou l'omoplate.

  1. Parce qu'il fait beau sous les tropiques, ils donnent tous l'impression d'être en vacances dans une station balnéaire de Californie ou du Sud de la France. Transformant les endroits où ils passent, que ce soit Udaipur, Singapour, Hanoi, Hoi An, Ubud, Lovina, le volcan Rinjani en escale tropézienne, avec bars à bières branchés, musique live occidentale, boutiques de fringues, fast food et surtout wi-fi.

  2. Ils sont équipés de tablettes numériques, Smartphone, iPhone, iPad, Galaxy sur lesquels ils pianotent à longueur de journée, (même en mangeant ou dans les transports) chacun enfermé dans sa bulle. Très attachés à leur image, ils se prennent eux mêmes en photos partout (selfies), parfois avec l'aide d'un bras télescopique, afin d'inonder les réseaux sociaux de leur narcissisme.

  3. Ce qui me dérange est qu'ils semblent ne pas connaitre les bases de la convivialité comme:

se saluer lorsqu'on se croise sur des chemins de randonnée, enlever son panama ou sa casquette de rappeur dans un restaurant, demander si les gens sont d'accord pour être photographiés, céder la place à une personne âgée ou à une femme enceinte dans les transports publics, être attentifs aux traditions des autochtones, ils entrent dans les endroits sacrés dans cette tenue, alors qu'il y a 4/5 ans on nous demandait d'avoir les jambes et les bras couverts ! Même le guide du Routard s'en émeut..

Les vols:

  1. En 2007, une compagnie imposée par le T.O.: Cathay Pacific. Compagnie chinoise faisant partie du top 5 des compagnies aériennes. Un retard important (6h00) au départ pour problème technique nous a fait manquer la correspondance pour l'Indonésie. Cathay nous a offert une nuit et les repas à l'hôtel Regal de l'aéroport de Hong Kong. Pas de correspondance avant le lendemain en fin de journée.

24 heures de perdues.

  1. En 2010 et 2016 nous avons choisi Singapore Airlines pour la fiabilité de la compagnie, ses tarifs attractifs, et la durée du vol inférieure à la plupart des autres vols. De l'aéroport au vol en passant par l'assistance au sol, leur service et leur amabilité sont légendaires. La seconde fois, pour éviter un départ de Frankfort qui est un des plus mauvais aéroport européen, nous partons de Zurich. Stop over de 3/4 jours à Singapore, très agréable.

  2. En 2011 nous passons par Emirates de France à Dubai, de Dubai à Jakarta, pour la qualité du service et des prix attractifs. Garuda de Jakarta à Yogyakarta, et de Denpasar à Makassar. A Jakarta, lors de la connexion, il est imposé de sortir de l'aéroport et de ré-enregistrer les bagages pour la correspondance pour Denpasar afin d''obliger les voyageurs à payer une taxe nationale qui s'ajouter à la taxe internationale.

  3. En 2014 Emirates de France à Dubai, de Dubai à Singapore et Jetstar de Singapore à Denpasar (un low cost australien : Easy jet est un luxe à côté). Malaysia Airways de Denpasar à Kuala Lumpur (service minable) et Emirates de Kuala Lumpur à Dubai et vers la France. Garuda pour les vols intérieurs, fidèle à sa réputation, les horaires et les portes d'embarquement sont rarement respectés.

  4. En 2016 Singapore Airlines, parce que un peu moins cher et moins long que Emirates, parce que nous avons l'intention de faire un stop over à Singapour au retour.


Le Tour Operator :

  1. Puce En 2007: cela faisait deux ans que nous essayions de réserver une location de voiture avec chauffeur-guide auprès d'une agence locale : tout est complet dès Novembre pour l'année suivante. La dernière limite étant parfois février pour certaines agences.

Nous passons par un tour opérator généraliste européen avec restriction de choix, la majorité des autres TO étant aussi complets sur cette destination dès le mois d'avril: Kuoni. Circuit classique en bus et grand groupe : Au Rythme des Balinais, avec guide local : les temples ou sites archéologiques les plus connus, des musées, des "ersatz" de ballades en campagne, beaucoup de shopping et du balnéaire. Beaucoup de temps passé dans les boutiques, les centres artisanaux: apparemment cela plait aux touristes qui en redemandent.

- Nous reprochons à ce T.O de n'avoir pas accompagné le retard de 6h00 au départ. Alors que la majorité des passagers des autres voyagistes ont eu collations et repas offerts, Kuoni ne s'est pas occupé de ses clients, disant que cela relevait de la compagnie aérienne.

- Autre reproche majeur: la majorité des hôtels retenus par Kuoni étaient des hôtels en travaux où nous étions les seuls clients. Nous avons payé le prix "fort" parce que en haute saison, alors que ces hôtels en travaux cassaient les prix pour faire du quota.

Nous avons transmis un dossier de plainte avec photos et preuves à l'appui, avec d'autres clients dont un cabinet d'avocats.

Kuoni propose une réduction sur un prochain voyage, en informant que dans les pays où il y a la mousson il est normal de faire des travaux pour pallier aux dégâts dus à l'humidité. Les autres T.O. ont l'avantage de choisir les hôtels qui ne sont pas en travaux ou qui font des travaux en dehors de la haute saison touristique !


  1. Puce Bon à savoir : un décret de la cour de justice européenne indique que tout retard de plus de 3h sur un vol long courrier au départ de l'Europe donne lieu à une indemnisation de 400 à 600 euros par passager. CE n°261/2004. Nous l'ignorions, le T.O s'est bien gardé de le signaler. L'hébergement d'une nuit à l'aéroport de Hong Kong ne représente pas l'indemnité due pour un couple de 1200 euros !


  1. Puce En 2010 nous construisons un circuit sur la base de ce que nous avons vu, de ce que nous souhaitons voir et revoir que nous proposons à des agences locales pour en assurer la logistique. Nous avons contacté 4 agences locales parmi celles qui étaient les plus citées dans les forums: Bali Autrement, Bali Authentique, Bali Evasion, Bali Tradition.


Nous avons choisi Bali Authentique parce que :

  1. - sur les 4 agences locales que nous avions contactées, une ne nous a jamais répondu après deux relances en un an d'intervalle.

  2. - deux nous proposaient des packages tous prêts et classiques. Bali Authentique tenait compte de nos attentes personnelles en matière de circuit tout en proposant des aménagements originaux qui leur sont propres.

  3. - deux agences étaient sensiblement plus chères

  4. - bien qu'il ne laisse pas le choix, les hôtels proposés par Bali Authentique sont séduisants par leur taille et leur confort (sauf Tanto Villa)

  5. - les échanges mail, une vingtaine en tout, se sont révélés cordiaux, professionnels et efficaces. Nous avons eu toutes les réponses à toutes les questions posées, très rapidement.

  6. Le circuit proposé, les visites prévues, le chauffeur/guide, l'assistance et les contacts sur place ont répondu à toutes nos attentes.

  7. Le programme laisse entendre que l'on pourra assister à un mariage, à une cérémonie de limage de dents, à une crémation, cela suppose que le chauffeur s'informe sur les lieux et les dates de festivités, et que ces festivités aient lieu au moment où nous traversons la région. C'est une proposition qu'il faut prendre comme aléatoire, en fonction de la période où l'on visite l'île parce que tout est prévu dans le calendrier balinais.


  1. Puce En 2011 nous avons proposé notre projet (timing, étapes principales, centres d'intérêts) à 3 Tours Opérateurs locaux: Bali Authentique, Bali Evasion, Bali Profond, en leur demandant un devis et des propositions de choses à faire que nous n'aurions pas prévues.

En dehors de Bali Authentique qui a toujours un petit plus à proposer, nous avons obtenu trois devis identiques dans leur contenu avec une différence (pour deux personnes) de 400 € entre Bali Profond et Bali Authentique et de 800 € entre Bali Profond et Bali Evasion.

Nous avons opté pour le moins cher, Bali Profond , ce que nous regretterons a posteriori:

  1. - Son argument de vente repose sur le fait qu'il fait vivre les gens du pays. Ce qui est le cas de tous les autres TO locaux qui utilisent du personnel indonésien et font vivre des petits hôtels indonésiens. C'est une obligation prévue par la loi indonésienne.

  2. - Sa stratégie de circuit individuel repose sur un chauffeur + un guide, alors que les autres proposent un chauffeur/guide. Avec comme argumentation "chacun son métier ".

  3. - Pour une différence de 400 euros, notre programme n'a été respecté qu'à peine au 2/3 du fait des guides et chauffeurs.

  4. Bali Profond ne dispose pas de personnel suffisant pour répondre aux demandes, ce qui l'oblige à employer des guides free lance, des chauffeurs de location dont il n'a pas la maîtrise même s'il prétend les connaitre.

  5. Ce T.O a tendance à penser d'emblée qu'un client insatisfait est un râleur : il accepte mal que l'on mette en cause le respect ou l'honnêteté d'un chauffeur ou d'un guide, partant du principe que s'il a été choisi par FR3 pour accompagner un reportage, c'est qu'il est irréprochable. La différence étant que c'est lui même qui était guide pour l'équipe de télévision !


  1. Puce En 2014, forts des expériences antérieures, nous récidivons avec Bali Authentique. Souhaitant visiter deux nouvelles îles: Florès et Lombok dont les guides papiers donnent peu de détails. Nous nous remettons au T.O pour préparer un programme en fonction de nos centres d'intérêts : des contacts humains authentiques, des scènes de vie, des marchés et des paysages. Nous apprécions la fiabilité et la réactivité de ce T.O. son honnêteté, ses prix attractifs, ainsi que sa façon originale d'élaborer les programmes.

  2. Comme la majorité des T.O. en haute saison, Bali Authentique est parfois confronté à une pénurie de chauffeurs référencés sur certaines destinations, ce qui oblige à faire appel à des chauffeurs/guides moins connus. Ce fut notre cas sur Florès en 2014.

D'où l'intérêt de signaler au T.O. et aux autres voyageurs les guides douteux mais aussi les guides exceptionnels, avec des détails concrets permettant de se faire une idée la plus précise possible.

Après 3 expériences de leurs programmes (2010 - 2011(non réalisé) - 2014) nous avons deux souhaits à formuler:

  1. Nous souhaitions qu'ils soient un peu plus précis dans leur programme en donnant les noms des lieux visités, même lorsqu'ils sont inconnus de la plupart des guides papiers. Ils l'ont fait.

  2. Compte tenu de leur expérience de terrain et de l'originalité de Bali Authentique, nous souhaitions qu'ils proposent des séjours chez l'habitant, afin de partager les activités d'une famille : marché, cuisine, artisanat, mode de vie, jardinage, vie spirituelle. Une immersion authentique dans la vie quotidienne Balinaise. C'était prévu à partir de 2015. Ils l'ont en partie fait. A développer et améliorer au niveau des activités proposées.

  3. A la différence de nombreux T.O. en Asie, Bali Authentique prend en compte les remarques qui lui sont faites, et s'excuse au lieu de se contenter d'être désolé. La différence entre les deux expressions n'est pas anodine. Ce T.O. reste pour nous le partenaire idéal sur l'Indonésie.

  4. Puce En 2016 nous faisons appel à Bali Authentique pour un programme particulier. Ayant déjà parcouru Bali dans tous les sens, nous souhaitions savoir s'il était possible d'en voir un peu plus. Nous souhaitions visiter Sumbawa qui n'est pas encore dans leur catalogue, et aborder Florès d'une autre façon. Pari réalisé. Nous avons fait Bali comme nous ne l'avons jamais fait. Nous découvrons que la qualité du guide y est pour beaucoup. Après avoir traversé Lombok, nous avons visité Sumbawa en réalisant que cette destination avait beaucoup de choses à offrir au tourisme nomade, sur le plan humain, culturel et des paysages. L'authenticité des villages y est encore garantie.

Quand à Florès, l'expérience d'intégration en famille a été géniale et mérite d'être développée, avec participation à des activités autres que les repas et les loisirs: marchés, cuisine, visites d'artisans, de petits producteurs de spécialités locales...

Tout le programme a été respecté, voire plus. Ce voyage a été un des plus beaux que nous ayons fait, à tous les niveaux.


Le chauffeur / guide: (voir nos critères d'évaluation ici)Conseils_de_voyage.htmlshapeimage_4_link_0

  1. En 2007 un guide local "traditionnel" pour groupes. Blasé, fatigué, âgé. Sans motivation, sans passion, abonné au service minimum,

comme ses collègues portant la même chemise "tropicale à fleurs" de l'entreprise. Nous les avons observés 7 et 10 ans plus tard, ils portent toujours les mêmes chemises...avec les mêmes airs blasés, fatigués.


  1. En 2010  Nous avons apprécié le chauffeur/guide de Bali Authentique : Roy.  

Respectueux, attentionné, souriant, discret, chaleureux. Lorsqu'il a vu que nous acceptions de manger dans des warungs populaires, il nous accompagnait à notre demande, en payant lui-même ses repas. Il nous avertissait lorsque nous prenions des risques alimentaires.

Il nous a fait découvrir des plats que nous ne connaissions pas.  Il a transformé le marché de nuit de Gianyar en festival de dégustations variées et savoureuses.

Voyant notre intérêt pour les spécialités locales, on s'arrêtait à chaque stand de fruits de bord de route où il y avait des fruits que nous ne connaissions pas. Dégustation et visite du jardin des producteurs en sus.

Sachant que j'avais la jambe cassée, il nous a accompagné dans toutes les randonnées pour venir en aide en cas de besoin.

Il a parfois un peu de difficulté à gérer le timing, d'où l'impasse sur certaines activités prévues. Il ne cherche pas trop non plus à se renseigner sur les activités et festivités locales qui auraient pu nous intéresser. Cela le situe entre le guide moyen et le très bon guide.

Nous avons réalisé les 3/4 de ce qui était prévu officiellement dans le programme, de notre fait et du fait de la gestion du temps. Nous avons réalisé d'autres choses à côté qui ont fait de ce voyage une réussite et un très bon souvenir.

Il fait partie des bons chauffeurs/guides que nous avons rencontrés en Indonésie et ailleurs dans le monde.


  1. En 2011 pour des raisons qui lui sont propres Bali Profond impose un couple chauffeur + guide, ce qui influe fortement sur la dynamique relationnelle avec les clients.

- Premier équipage Java : guide Eko (médiocre), chauffeur Sarpan (à éviter). un guide incompétent, peu motivé + un chauffeur arrogant, irrespectueux, dominateur.

- Second équipage Bali : guide Eko (médiocre), chauffeur Debba (exceptionnel). Le guide incompétent + un chauffeur qui se révèle être un vrai guide. Il aurait sa place dans l'équipe de Bali Authentique.

  1. -Troisième équipage Célèbes (Sulawesi): guide Syarif (à éviter), chauffeur Tetti (moyen). Un guide arrogant, malhonnête + un chauffeur influençable coincé entre vouloir faire plaisir aux clients et l'autorité d'un guide caractériel.( détails sur ces guides et chauffeurs)

Devant l'arrogance et le comportement incorrect du premier chauffeur, nous avons demandé au T.O. de changer ce chauffeur.

Le T.O refusant, nous avons dû le menacer de mettre fin au séjour et de nous rendre au consulat de France pour déposer plainte pour qu'il finisse par accepter.

Lorsque nous contactons (une seconde fois) Mr Rachmat pour vérifier le contrat concernant la demi-pension, le guide voulant nous faire payer des repas déjà payés, c'est sur un ton agacé qu'il répond. Pas très à l'écoute des clients qu'il considère comme râleurs !


  1. En 2014 à Florès nous sommes guidés par Maxime, qui se fait accompagner de son cousin- Reynolds- comme
    chauffeur. Il parle bien l'anglais. Ce guide s'est révélé être un personnage compliqué, frimeur, irascible, baratineur, manipulateur, mystificateur : un kéké. (super médiocre). Un psychopathe pervers narcissique.
  2. Bien qu'il dise avoir la réputation d'être un bon trekkeur, il ne semble pas connaitre les règles de base du trekking comme l'hydratation, la gestion de l'effort et des temps de repos, les conditions météo. Il dit aussi être spécialiste des oiseaux. Pour le reste il raconte un peu ce qu'il veut !

  3. Il n'a pratiquement pas respecté le programme prévu, invoquant le fait que le T.O ne connait pas la réalité.

Ce qui est faux, d'autres guides réalisent ce programmes pour le même T.O. à Florès.

  1. Il est incapable d'anticiper, d'organiser, il manipule la réalité pour retomber toujours sur ses pieds et ne pas perdre la face.

  2. Il propose continuellement des options non prévues, faisant semblant de laisser le client choisir,mais argumentant jusqu'à imposer l'option qui l'intéresse.

  3. Il aime donner l'impression qu'il est chez lui partout et que tout le monde le connait, cependant il a rarement cherché à nous mettre en contact avec les habitants de Florès, que ce soit dans les villages ou sur les marchés.

  4. Il est toujours devant, à fumer, à envoyer et recevoir des SMS, se contentant de dire "on y va".

  5. Il a souvent imposé un timing et des visites en fonction de ses priorités, à commencer par son addiction au tabac, sa relation avec ses proches, plus nombreux que nos envies de faire des photos et de rencontrer des gens.

  6. Pendant tout le circuit il nous a imposé de lui prêter un appareil photo avec un téléobjectif sous prétexte qu'il aimait faire des photos d'oiseaux. Afin de ne pas envenimer une relation qui se présentait mal j'ai laissé faire, à tort.

Ce guide a gâché la découverte de Florès par son comportement borderline et ses incompétences.  A éviter.


En 2014 et 2016
à Lombok et Sumbawa, nous sommes guidés par Syarif (Syarifuddin). (rien à voir avec le guide de Sulawesi de 2011)

Syarif est un Très bon chauffeur/guide expérimenté efficace. Connaissant bien son pays, il a une idée assez précise des bons plans et sait faire découvrir des petites choses intéressantes. Il parle très bien anglais, et un peu le Français, il nous a appris un peu d'indonésien.

  1. Il gère bien le timing du programme. Il est respectueux et attentionné.

  2. Il a toujours cherché à nous mettre en contact avec la population locale, et à nous faire découvrir des particularités du mode de vie à Lombok et à Sumbawa. Il aime que l'on se pose et que l'on entre en contact avec les gens.

  3. Dans les villages et dans les marchés il repère souvent des choses particulières à découvrir, et les bons plans photos qu'il a parfois tendance à "imposer", mais c'était toujours bien venu car il a un regard assez pertinent.

  4. Il ne fume pas, ne passe pas son temps à téléphoner ou envoyer des SMS.

  5. Il aime son île et aime le faire partager par de nombreuses attentions: comme découvrir un fruit, un légume, un krupuk, une plante médicinale légale, un marché et tout ce qu'on y trouve...

  6. Il aime qu'on lui demande des choses qui sortent de l'ordinaire comme visiter un atelier qui fabrique du tofu, ou des toupies. Il se démène pour répondre aux demandes.

  7. Il a parfois tendance à être autoritaire: lors de chaque séjour il s'impose aux déjeuners qu'il se fait payer sans que cela relève d'une invitation ou d'un accord préalable. Nous ne réagissons pas parce que de son côté il nous offre parfois un repas simple ou nous fait goûter des produits qu'il achète sur les marchés (sauf s'il s'avère qu'il se fait rembourser ces frais par l'agence, ce qui serait alors un réel manque d'honnêteté). Il impose de lui donner des bonbons pour les offrir à quelqu'un avec qui il discute, il vérifie que nous donnons des pourboires et combien, parfois il fixe le montant, il s'assure que nous avons payé nos repas...Des manques de tact qui font que, malgré ses qualités de chauffeur/guide exceptionnel, nous le classons dans les très bons chauffeurs/guides

  8. A Sumbawa en 2016, Rifi, le fils de Syarif, nous accompagne en nous précédant sur sa moto, sans
    que cela soit prévu par l'agence. Ses déjeuners ont été comptabilisés avec ceux de son père !

Il semble qualifié pour visiter cette île, parce qu'il semble mieux la connaitre que son père.

Rifi est un garçon simple, discret, efficace, respectueux, chaleureux et très attentionné à l'égard des clients. Il pense à tout et sait se démener pour trouver des choses intéressantes à faire ou à voir.

De nature sportive il accompagne aussi bien les randonnées que les sorties snorkeling. Légèrement réservé ou en retrait, probablement du fait de la présence de son père, il gagne à être connu. Il a tout pour être un guide exceptionnel.

Syarif et Rifi font partie des très bons chauffeurs/guides que nous avons rencontrés en Indonésie et ailleurs dans le monde.

En 2016 à Bali, nous sommes accompagnés par Wayan Andy, un chauffeur/guide exceptionnel.

Cultivé, poli, gentil, discret, humble, efficace, prudent, honnête.

  1. Il prend soin de ses clients comme s'ils étaient précieux. Il est prévenant, attentionné, chaleureux.

  2. Il sait de quoi il parle et quand il ne sait pas il se renseigne afin de nous informer au mieux sur ce que nous voyons. Bien que jeune, il est très imprégné de culture traditionnelle et familiale qu'il partage avec plaisir. Sa famille semble avoir des valeurs très représentatives de la culture Balinaise.

  3. Il s'intéresse à notre culture qu'il aime découvrir sans avoir besoin de faire des comparaisons. Il est perpétuellement dans l'échange.

  4. Il respecte l'intégralité du programme, gère bien le timing, et cherche à nous faire découvrir des choses qui ne sont pas prévues au programme. Tout ce qui se passe en chemin est l'occasion de s'arrêter, de découvrir, sans nuire au déroulement de la suite.

  5. Il s'informe sur les cérémonies, les activités, les événements susceptibles de nous intéresser. Un fois sur place, il veille à ce que nous ne restions pas en marge de l'événement, il nous aide à nous introduire dans la famille, à rencontrer les gens, puis il se met en retrait de façon à ne pas interférer, restant disponible pour traduire, expliquer, faciliter l'échange.

  6. Il a refusé toutes nos invitations à partager un repas, et a refusé le pourboire à la fin du programme qu'il a fallu lui imposer. Pudeur, modestie, ou parce qu'il prend du plaisir de faire ce qu'il fait. Il mérite beaucoup plus.

  7. Il ne fume pas pendant le travail, ne passe pas son temps sur son portable.

C'est le meilleur chauffeur/guide que nous avons rencontré dans le monde, avec André Nguyen Dinh Lung au Vietnam et Rameshwar en Inde.


En 2016 à Florès, nous sommes accompagnés par Pedi Parera(Pedhy), le meilleur chauffeur/guide de Bali Authentique sur l'île de Florès. Sachant que les cacis ont souvent lieu de la mi-août à la fin août dans la région de Ruteng, nous avions sollicité l'agence pour qu'elle demande à Pedi de se renseigner sur les lieux et les dates. Ce qui fut fait.

Pour le reste, il est difficile d'évaluer Pedi en tant que chauffeur/guide dans le cadre d'un programme, dans la mesure où nous avons été hébergés en programme libre dans sa famille pendant notre séjour à Florès.

Les activités étaient en fonction de la famille, et des possibilités de visites dans les environs proches.

La qualité du séjour est essentiellement liée à la richesse humaine de cette famille. Une famille chaleureuse, accueillante, protectrice, solidaire, avec des personnalités très différentes et très complémentaires. Le sourire et les histoires de Pak Lobe, chercheur de trésors, et sa façon émouvante de s'occuper de ses petits enfants, la bienveillance d'ibu Celni, enseignante qui a beaucoup donné dans sa vie,

la douceur et les fabuleux plats végétariens de Desy qui parle plus avec les yeux et le coeur qu'avec des mots, l'humour et la présence efficace de Lani, la sagesse et l'ouverture intellectuelle de Ino, professeur d'anglais et animateur de radio, la présence discrète et efficace de Frida, la légère exubérance de Pedi, font que ce séjour a été exceptionnel. A défaut de pouvoir évaluer Pedi, c'est une des meilleures expériences d'intégration familiale que nous ayons vécu avec celles que nous avons connues dans les villages du Sénégal et à Vellinezhi en Inde du Sud.


Bon à savoir:


  1. En août 2014, le visa est passé de 25 à 35 $ et la taxe d'aéroport intrenationale de 125 000 à 200 000 roupies, depuis 2015, le visa est gratuit pour un certain nombre de nationalités dont la France, et il n'est plus nécessaire de prévoir une taxe d'aéroport pour le départ international.

  2. Un thé coûte entre 5000 et 7000 rps, une bouteille d'eau (1,5l) entre 5000 et 8000 rps, une bière entre 20 000 et 35 000 rps, un coca cola 7000 rps, un jus de fruit frais 12 000 rps, 1 kg de riz entre 6000 et 9000 rps, 1 timbre pour carte postale 10 000 rps, une carte postale entre 3000 et 3500 rps, le litre d'essence 6500 rps.

  3. Les repas simples, mie Goreng ou Nasi Goreng, gado gado n'ont pas changés : entre 15 000 (1,50€) et 40 000 (3€) roupies selon l'endroit, plus la boisson. Dans les hôtels un repas indonésien varie entre 45000 (4€) et 80 000 (7€) roupies.

  4. Attention aux dates de séjours : éviter de faire Java et Lombok en période de ramadan. Boutiques, restaurants, sites touristiques fermés. (sauf sites sasaks). Privilégier les dates qui correspondent aux festivités ou activités du calendrier balinais. A voir avec le T.O.

Les Balinais en particulier et les Indonésiens utilisent 3 calendriers :

- le Pawukon , calendrier perpétuel qui définit une année de 210 jours, divisés en 30 Wuku (semaine) de 7 jours. Chaque wuku étant sous l'influence d'une planète. Ce calendrier définit tous les rites de la vie des Balinais: il y a un jour pour semer, un jour pour récolter, un jour pour se marier, un jour pour la crémation etc...

- le Saka, d'origine hindoue, calendrier qui définit une année de 12 mois lunaires, ce qui aboutit au fait qu'en 2016, ils sont en 1938.

Nyepi est le nouvel an qui a lieu en mars ou en Avril. C'est le jour du silence. Beaucoup de Balinais pratiquent alors la méditation pour trouver la paix intérieure.
Selon Bali Authentique : " Ce silence de 24h a également pour but de faire croire aux démons que l'île est déserte, pour qu'ils ne reviennent pas déranger ses habitants. C'est pour cela que pendant 24h, il est formellement interdit de sortir dans les rues, d'allumer un feu ou de s'éclairer (sauf éventuellement à l'abri d'épais rideaux), de travailler et même de s'amuser.

Ces règles s'imposent à tous, Balinais comme étrangers. Nyepi est l'occasion d'affirmer le nationalisme balinais face à la modernité enivrante qui gagne l’Indonésie. Bali s'isole donc du reste du monde ce jour-là, et chose exceptionnelle, même l'aéroport est fermé (sauf en cas d'urgence)".

- le Grégorien, calendrier international, qui permet d'être connecté au reste du monde, et d'organiser la vie administrative.

Tous les 35 jours les Balinais font des offrandes à l'occasion de rituels divers. En dehors de la fête de l'indépendance qui a lieu le 17 août, l'Indonésie jouit d'une vingtaine de jours fériés pour des commémorations diverses: Galungan (fête des ancêtres), Kuningan,  mais aussi anniversaire de Bouddha, nouvel an chinois, anniversaire du Prophète, Pâques, Noël etc...

  1. Eviter la formule chauffeur + guide, ce n'est pas la meilleure formule pour visiter ce pays.

  2. Ne pas changer d'argent à l'aéroport, les taux de change sont beaucoup plus bas qu'en ville. Même si la différence ne semble pas importante sur le tableau, sur plusieurs millions de roupies, cela fini par être important. (1 million de roupies = 81 €). Même chose au niveau des money changers, dans une même rue, il y a parfois des différences de 400 à 500 roupies pour 1 euro, sur 200 euros cela peut faire 100 000 roupies de différence.

En 2014 le change est 1 euros = 15 600 roupies

En 2016 le change est 1 euros = 14 880 roupies


 
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